Un film de Guy Pelletier et Pierre Bundock
Au départ, une simple idée, un court synopsis… Le film Dans l’oeil de la forgeronne va apparaitre en même temps que la sculpture, la création de l’un influançant la création de l’autre et vice et versa. Nous allions donc devoir sculpter notre film en même temps que Marie-Josée Roy travaillerait; par son travail, la sculpteure allait influencer le processus de tournage du film et, par effet de boucle, le tournage influencerait le travail de la sculpteure. Une spirale artistique dans laquelle nous allions devoir tous les trois constamment nous réadapter. En effet, même si nous avions un concept bien précis de traitement filmique, à mesure que la sculpture apparaîtrait, de nouvelles idées allaient inévitablement nous arriver en masse jusqu’à carrément modifier le concept initial de la sculpture elle-même.
La sculpture se modifiant, le film se modifiera… etc..etc..